On résiste. On se cache pour résister. L'entrée boisée est bien gardée, du vent souffle dans les éoliennes et des sons mystérieux hantent la forêt. Ça s'organise. Avant la guerre ou après l'effondrement. Dans le cœur des maquisards ou dans la tête des survivants. La force et les idées s'installent dans la forêt le temps d'une retraite offensive.